Leur enclos frôle la centaine d'hectares car les taureaux ont besoin d'espaces pour rester le plus sauvage possible. Ceux qui les côtoient savent à quel point ces animaux peuvent être dangereux, prêts à encorner la main qui les nourrit, en l’occurrence celle de Francis Volpellière, qui a été traversée de part en part. "Le taureau qui m'a fait mal, c'est celui du milieu. Il s'appelle Artiste", explique-t-il. Les raseteurs risquent leur vie dans l'arèneLes gardiens ne peuvent les approcher qu'à cheval, ce qui leur permet de sélectionner les taureaux qui vont courir dans l'arène. Dorian Friackh sera également dans l'arène. Ce jeune raseteur est venu voir à qui il aura affaire, car chaque taureau a sa propre personnalité. Alors que les taureaux sont transportés vers les arènes, Dorian effectue un ultime entraînement. Chaque geste est répété, avec une précision au centimètre.