Les larmes coulent ànouveau en Corée du Nord pour l’enterrement du président éternel du pays. Elles coulent degré ou de force. Cela est difficile à dire tellement la dictature est féroce dansce pays. Et tellement, le conditionnement est puissant. Un Nord-Coréen passéaujourd’hui dans le pays voisin en Corée du Sud expliquait que malgré sa hainedu dictateur défunt, Kim Jong Il, il n’avaitpu s’empêcher de pleurer en apprenant sa mort tellement le "lavage de cerveau " qu’ila reçu est efficace.Quoiqu’il en soit, en ce jour de funérailles, tous lesregards se tournent vers son fils Kim Jong-Un, le nouveau "grand successeu r"et "nouveau grand camarade " de la Corée du Nord. Le jeune homme âgé de 30 ans bénéficie déjàdes faveurs de l’unique agence de presse officielle. Cette dernière a martelécombien le nouveau numéro un du pays a "bon cœur ". Il aurait lui-même demandé quel’on envoie des boissons chaudes aux citoyens venus présenter leurs respects àson père décédé, et ce malgré le froid qui règne dans le pays.Les nouveaux hommes forts du pays aux côtés du nouveaunuméro unLa Corée du Nord a beau être une dictature, elle restetoutefois dirigée par des hommes. Et les luttes de pouvoir existent commepartout dans le monde. C’est ainsi que les observateurs vont examiner à laloupe la cérémonie. Ils devraient ainsi apercevoir ceux qui ont les faveurs deKim Jong-Un, le nouveau leader du pays. Une liste de 232 noms aurait étépubliée. Les personnes figurant sur la liste étant censées être celles qui compteront demain avec le nouveau pouvoir.