La rue libanaise a répondu avec colère à une décision gouvernementale prévoyant de taxer à hauteur de 20 centimes de dollar chaque appel sur des messagerie telles que Whatsapp et Viber. Malgré le recul des autorités, certains manifestants demandent désormais la démission du gouvernement Hariri. Ils dénoncent plus généralement la corruption et le clientélisme de la classe politique libanaise, sur fond de crise économique.