Après le suicide de Jeffrey Epstein, le 10 août dernier dans sa cellule de la Metropolitan Correctional Center, à New York (États-Unis), de nombreuses zones d'ombres restent à élucider dans cette affaire du nom du milliardaire américain accusé d'exploitation sexuelle de mineures.Petits arrangements entre amisCertaines victimes pourraient être françaises. Le lien : "une adresse, le 22 avenue Foch à Paris. La résidence française de Jeffrey Epstein", relate Agnès Vahramian, où il a été arrêté le 6 juillet dernier. Deuxième lien: "un carnet manuscrit avec des contacts français, des noms de restaurants, d'avocats...etc. Et puis une rubrique "massage" avec des prénoms féminins et masculins, et des numéros de téléphone qui interpellent" détaille toujours la journaliste en citant le fameux "black book" du milliardaire. Enfin, le dernier lien, c'est un ami de longue date de Jeffrey Epstein; le patron d'une agence de mannequinat qui "en échange d'investissement [...] aurait amené au milliardaire des filles, de très très jeunes filles", conclut Agnès Vahramian. Une personne citée par la principale accusatrice du milliardaire. Niant les faits, elle n'a encore jamais été inquiétée par la justice.