C'est une zone de tensions dont l'issue semblait encore incertaine ces derniers jours. Jeudi 17 octobre, la Turquie a fini par accepter le cessez-le-feu provisoire réclamé notamment par le président américain Donald Trump dans une lettre rendue publique. "Je veux remercier la Turquie et tous ceux qui ont contribué à cela. C'est un grand jour", s'est-il réjoui. Une trêve provisoire Si cette décision est une première avancée dans l'apaisement des tensions, cet équilibre reste encore très fragile. Le gouvernement turc a accepté cet accord mais en échange, il exige le retrait sous cinq jours des forces kurdes du nord-est de la Syrie. Cette guerre est donc suspendue mais pas encore terminée. Les Kurdes affirment être prêts à accepter cette trêve, il reste désormais à savoir quelle sera la position des forces de Bachar al-Assad qui ont rejoint leur mouvement.