Qualifiée de "dangeureuse " ou de "candidature de posture ", l'annonce de Dominique de Villepin ne laisse pas la majorité indifférente. Nadine Morano, ministre de l'Apprentissage et responsable UMP en charge des élections, encourage même l'ancien Premier ministre à y renoncer. De la même manière, pour Valérie Rosso-Debord, cette candidature pourrait contribuer à "un 21 avril à l'envers "."Il faut proner le rassemblement de toutes les forces derrière le président de la Républiquie. Dominique de Villepin est un homme de cette majorité présidentielle,nous avons besoin de sa contribution ", indique également Marianne Montchamp, ancienne porte parole du parti de Dominique de Villepin, et actuelle secrétaire d'État auprès de la ministre des Solidarités.
